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Villes :
Colonges-sous-Salève (la vrai ortographe serait peut être
Collonges, voir plus bas à "Communes à consonnance Colonges")
est une commune en france, mais pour l`instant nous n`avons pas plus d`informations
sur la situation géographique de cette commune et son historique...
nous allons rechercher...
Communes à consonnance Colonges
Une autre localité très connue :
Collonges-la-Rouge
Site préhistorique. Etymologie latine : Colonica, doit son
surnom à la couleur du grès dont le village est bâti.
Habitat
gallo-romain développé à l'époque mérovingienne.
Prieuré
fondé au 8ème, par les moines de Charroux. Dépendait
de la
vicomté de Turenne jusqu'en 1738, date de son
rattachement à la Couronne.
site classé par le Ministère
de l'Environnement depuis le 1er juillet 1996 (le seul
en Corrèze)
village le plus visité du Limousin
: plus de 500 000 visiteurs par an (selon le
rapport Économie Touristique
et Patrimoine Culturel)
lieu de théâtre depuis 1991
Une visite guidée de Colonges la rouge :
http://perso.wanadoo.fr/jean-philippe.massonie/colonge/visitegide/Plan.htlm
Collonges-la-Rouge : ancienne étape des pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle et châtellenie de la vicomté de
Turenne. Ce village, bâti en grès rouge, attire par la qualité exceptionnelle de son architecture. Castels, maisons à tourelles et échauguettes, vieille halle et toits de lauzes se succèdent tout en harmonie...
Quelques photos de collonges :
Des communes à consonnance "Colonges" (en entête le numéro du département):
6 COULONGES
27 COULONGES
17 COULONGES
16 COULONGES
47 CALONGES
01 COLLONGES
79 COULONGES THOUARSAIS
02 COULONGES COHAN
19 COLLONGES LA ROUGE
21 COLLONGES LES BEVY
21 COLLONGES LES PREMIERES
69 COLLONGES AU MONT D'OR
71 COLLONGE EN CHAROLLAIS
71 COLLONGE LA MADELEINE
74 COLLONGES SOUS SALEVE
61 COULONGES LES SABLONS
61 COULONGES SUR SARTHE
79 COULONGES SUR L'AUTIZE
et pas de colonges!!!! mais ça se tient!!!
Les colonges en France :
Un site sur les colonges de Seleute (qui sont en fait des sortes de territoires ou proprietes en Alsace ancien temps) :
http://isuisse.ifrance.com/st-ursanne/seleute.htm
Le texte :
La hutte et la ferme. - Nobles de Seleute. - Les colongiers Bourquard,
Faibvet et Humbert.-
Les six colonges.- Le Chapître et dame Rossel née Bennot.
-
Les fiéteurs de St-Oswald
en 1734. - Mortalité du bétail en 1744. - Bois accordé
par le Chapître. -
Les forêts. - Les volontaires
Français en 1793. - Routes, maison d'école et chapelle. -
Mgr Bourquard.
Seleute, en allemand Scheulte, ou plutôt Celeute (celletta),
comme on écrivait au XIIIe siècle, signifie une hutte de
pa-
ture. La pâture de Celeute, défrichée bien avant le
XIIe siècle,
s'est transformée de bonne heure en une ferme, propriété
de l'ab-
baye, puis du Chapître de St-Ursanne. Plus tard, ce corps de bien
s'est divisé, comme nous le verrons, en un certain nombre de
colonges. - Les colongiers, groupant leurs habitations autour de
la fontaine de Seleute, formèrent le village de ce nom.
Cette localité existait avant 1200. Elle avait ses nobles écuyers,
tels Hugues de Celeute en 1180, Henri de Celeute en 1200 et
Germain de Celeute en 1397.
En 1429, d'après le rôle de franchises de la ville, Seleute
payait
les droits de charruage au maire de la Prévôté.
Arnould Bourquard habitait ce village en 1573. Il avait d'abord
habité Villars, où son père, originaire de Morat,
s'était réfugié,
sous la protection du prince-évêque de Bâle, pour demeurer
fidèle
à la foi catholique. Arnould Bourquard vivait encore en 1591.
Décédé avant 1616, il laissait trois fils: Jean, maire
de Seleute,
Ursanne et Etienne. Ils étaient alors tenementiers, avec dame
Perrenate Laigney, mère du notaire François Humbert, du maix
de feu Jehan Courtat, de Seleute. Ce maix comprenait 23 pièces
de terre formant 39 journaux.
Le 18 décembre 1666, les fils de Jean Perrin Bourquard "vieux
mayre", Pierrat et Bendy ou Benedict, reprenaient les biens de
leur père, qui venait de mourir. La part du notaire Humbert avait
été reprise déjà le 7 mai 1655 par François
Rossel, maire de Por-
rentruy.
En 1614, Claudat et Jean Faibvet, fils de feu Thomas, de Seleute,
tenaient
la terre ès Riotaz. Leurs biens passaient, en 1658, à Pierre
Faibvet, maire, à son frère Ludovic et à Wuillemin
Courtat.
A la même époque, le notaire Humbert possédait, de
sa mère
Perrenate, comme fief "un cerneulx en la montagne de Seleute
proche la Vacherie feu Henry Gruyère" ainsi que le reconnaissait
Jean-Germain Humbert, docteur ès-lois et conseiller de Son Al-
tesse.
Avant les tenementiers que nous venons de rappeler, c'est-à-
dire de
1500 à 1600, et déjà plus tôt, les fiéteurs
de Seleute étaient
les Barrest, de St-Ursanne, les Galland, Richard Bol, Clément
Regnauld, Huguenin Humbert, mari de dame Perrenate, Richard
Hecheman et les Picquignat de Courgenay.
Les colonges de Seleute, en 1614 et en 1778, étaient les sui-
vantes:
1. La terre Oswald et le fol d'Halle;
2. La terre Symon de Montorban;
3. La terre Jean Courtat;
4. La terre Petite Jeannette;
5. La terre ès-Baichaulx;
6. La terre ès-Riottaz.
Les principaux tenementiers de ces terres "avec maison et
courtil" étaient en 1771 les famille Derozé, Huelmann, Bouvier,
Bourquard, Billieux, Febvet et Varin.
La Vacherie-Mouillard, propriété de M. Billieux-Faber, avait
pour
fermier Jean-Baptiste Buchwalder.
La colonge de la Vacherie-Mouillard appartenait en 1680 à dame
Catherine Bennot, veuve de Jean-François Rossel, conseiller au-
lique et maire de Porrentruy. Cette colonge donna lieu à une vive
contestation entre la veuve Rossel et le Chapître. Ce dernier re-
vendiquait sur cette terre son droit de fief méconnu. L'avocat du
Chapître, le docteur Hennet, porta l'affaire devant l'officialité
d'Altkirch qui décida, au vu des pièces, que la colonge en
ques-
tion ne pouvait être vendue ni donnée en emphytéose
sans le con-
sentement du seigneur direct. Or, ce seigneur direct n'était autre
que le Chapître.
Le lieutenant Jean-Nicolas Babé, de Delémont, possédait
à Se-
leute,
en 1772, l'Essert Guillot, dont le vicaire Guerroux faisait la
reprise au nom du sieur Babé.
Pendant les troubles de 1730 à 1740, les Picquigant trouvèrent
des partisans à Seleute. En 1734, les tenanciers du fief saint Os-
wald refusèrent de payer au vicaire Guerroux les grains et revenus
de cette terre, "jusqu'à ce qu'il eût été prouvé
que ces grains lui
étaient dûs." La preuve en fut administrée par le Chapître,
puis
à la voix du prince-évêque, les fiéteurs revinrent
au sentiment de
la justice.
L'hiver de 1743 à 1744 fut fatal aux habitants de Seleute. Le
3 janvier 1744, ils demandaient une charité au Chapître, "en
vue
du grand malheur qu'ils venaient d'essüier par la mortalité
du
bétail rouge, qui dans ce seul endroit, composé de dix maisons,
en avait enlevé 99 pièces". Le Chapître leur abandonna,
pour
cette année, la rente qu'ils payaient annuellement.
Le Chapître se montrait bon envers ses fiéteurs de Seleute.
Le
3 mars 1747, il accordait sans difficulté à Joseph Bourquard,
am-
bourg, et à Jean-Baptiste Faivet, l'autorisation qu'ils demandaient
de couper dix-sept pièces d'arbres foyards dans le bois bannal de
Clairmont, propriété du Chapître, pour l'usage de la
communauté
et charronnage."
La condescendance du Chapître n'empêcha pas qu'il n'eût
avec
la commune de Seleute, en 1780, de vifs débats relativement à
la
délimitation des forêts bannales. Ce procès, qui fut
long, se ter-
mina en réglant les droits de chacune des parties.
La commune de Seleute, en 1793, fit partie du canton de St-Ur-
sanne. Le 14 avril de cette année sinistre, Nicolas Matthé
et Joseph
Bourquard étaient désignés comme scrutateurs dans
l'assemblée
réunie à St-Ursanne pour la nomination d'un juge de paix.
Seleute eut aussi, à cette époque, à héberger
les peu aimables
hôtes connus sous le nom de volontaires Français. Le 21 frimaire
1793, une demi-compagnie de ces garnissaires était envoyée
à Se-
leute par St-Ursanne, qui en regorgeait. Il se hâtèrent d'y
planter.
sous le
nom d'arbre de la liberté, l'arbre de la tyrannie révolution-
naire. Ils ne restèrent pas longtemps à Seleute, où
ils reçurent
l'accueil qu'ils méritaient.
Dans notre siècle, le village de Seleute s'est donné, non
sans
faire de grandes dépenses, deux routes et une charmante maison
d'école, près de laquelle va s'élever cette année
une gracieuse
chapelle, qui sera le plus bel ornement du village; ce qui n'a pas
empêché cette commune de contribuer pour une large part à
la
construction des chemins de fer du Jura.
De la famille Bourquard, de Seleute, est sorti le père de Monsei-
gneur Bourquard (Laurent-Casimir), né à Delle le 1er janvier
1820,
et directeur actuel du collége des R.P. Bénédictins
de Mariastein,
réfugiés dans cette ville. Ordonné prêtre à
Strasbourg, le 19 juin
1843, après de brillantes études, classiques et théologiques,
Mon-
seigneur Bourquard a occupé, avec distinction, divers postes émi-
nents. Professeur au petit séminaire de Strasbourg pendant trois
ans, puis directeur du collége de Ruffach pendant cinq ans, pro-
fesseur de philosophie au collége de Vaugirard en 1852, et pendant
neuf ans professeur de la même science au lycée de Besançon,
Mgr Bourquard a rempli avec zèle et succès pendant douze
ans les
fonctions de premier aumônier du collége Rollin à Paris.
Quelque
temps après s'ouvrait l'Université catholique d'Angers. Une
chaire
de philosophie y attendait Mgr Bourquard, nommé chanoine de ce
diocèse par Mgr Freppel, tandis que S.S. Léon XIII élevait
le sa-
vant docteur (en théologie) à la dignité de camérier
du pape.
Mgr Bourquard, qui est aussi docteur ès-lettres, a publié
divers
ouvrages du plus haut intérêt. Citons entre autres son beau
livre
sur la Méthode dans les sciences théologiques, (Paris, Lecoffre,
1860), ouvrage aussi bien écrit que bien pensé, auquel le
monde
savant a fait un accueil mérité.
et encore une histoire de colonges :
Villare en 1139. - Le maire et les colonges en 1210. - Les nobles de
Villers.
- La rampe de l'église en 1416. - Divers colongiers au XVIe siècle.
- Vil-
lers ravagé de 1635 à 1637.
Un beau village se déploie au pied de son clocher dans le
site le plus avantageux du Clos-du-Doubs. C'est le "Haut-
Villers" ou Epauvillers, nommé Villare (ferme d'une villa)
en 1139 dans la bulle d'Innocent II confirmant les possessions du
Chapître de St-Ursanne.
Une villa romaine s'est élevée de bonne heure dans ce lieu
fer-
tile, protégé par la station militaire du Chételay.
En 1139, Epau-
villers avait son église avec une chapelle à Chercenay, qui
en dé-
pendait. Cette église, comme nous l'avons dit, fut incorporée
avec
celle de St-Ursanne en 1313, à la mense capitulaire de la Collégiale
chargée de la desservir.
Le maire de Villers, d'après le rôle de 1210, était
alors nommé
par l'évêque de Bâle, de concert avec le Chapître
de St-Ursanne.
Les deux tiers des colonges appartenaient au Chapître et l'autre
tiers à l'évêque. Ces colonges étaient au nombre
de douze. En 1381,
Villers payait au prévôt du Chapître une cense annuelle
de 16 sols,
suivant déclaration du prévôt Imier de Ramstein, l'année
avant
son élévation à l'épiscopat.
Au XIIe siècle, Villers avait sa famille noble. On trouve en 1175,
Bourkard et Henri de Vilaire; en 1210, Haymond de Vilers, et Lam-
bert de Vilario était maire de ce village en 1173.
En 1558, un "Burcardatus de Villario" figure encore dans nos
archives. Il revenait du service du comte d'Eberstein avec sept
blessures, et le Chapître lui donnait deux livres de monnaie, avec
cinq autres livres qu'il lui prêtait sur la fabrique. Bourcardat
tenait
les terres de l'église de Villers en 1567. Charles Bourkard et Petit-
jean Vallat lui succédaient en 1573.
Un bienfaiteur de l'église de Villers fut, en 1416, "Vilemin dit
Fusier de Pourrentrui". Le jeudi après la fête de saint Jean-
Baptiste, "en présence des témoins Jehan Bissoud, chanoine
de
St-Michel et Jehan Ruedin, prêtre à Pourrentrui", le notaire
B.
Bonguerçon dresse l'acte par lequel l'official de Besançon
"fait
scavoir que Vilemin Fusier est attendu de bailler et payer chascun
an ès ambourg, meneliers et gouverneur de l'église de Villars,
au nom de saint Arnoulphe, quatre channes d'huile pour la lampe
à allumer en ladite église". Ces quatre channes sont assignées
sur les terres que possède Fusier à Villers, "entre les quatre
corps
de finaige de ce lieu". Fusier se libère de cette redevance annuelle
en faisant donation de ses terres à l'église de Villers,
à condition
qu'une messe sera célébrée à perpétuité
pour lui et sa femme Jean-
natte, le lendemain de la fête de saint Jean-Baptiste.
Cet acte mentionne les colongiers suivants: Simonin et les hoirs
de Baiduiz, Henriat Faulche et la Mozatte. En 1565, Jehan Dubolz,
fils de Jehan Desbreusses tenait la terre de Charmillate, apparte-
nant à léglise de Villers. Une autre terre était tenue
alors par
Arnoulf Bourcard, d'Epauvillers. En 1572, la colonge Ferrechin
dite Cassatte, propriété de l'église, avait pour tenementiers
Ursanne
Badier, Morand Chollat, Petitjean Vallat, Charles Bourkard, Bas-
tien Bonguerçon et Walther Vallat.
De 1635 à 1637, Epauvillers fut cruellement éprouvé.
Les sau-
vages Ecossais des officers Forbes et Hébron, au service de la
France, pillèrent et saccagèrent le village de Villers et
toutes les
fermes de son territoire. Aussi nous avons vu les hommes du Clos-
du-Doubs accourir à St-Ursanne et aider aux habitants de la ville
à se faire justice des déprédations et des outrages
d'une vile sol-
datesque, en l'égorgeant dans la nuit du 13 au 14 octobre 1635.
Epauvillers n'en subit pas moins une ruine que de longues an-
nées ne suffirent à peine à réparer.
Les cultivateurs d'Epauvillers en 1666. - L'église reconstuite en
1695. -
Les troubles de 1730 à 1740. - Le notaire Maître.
En 1666, les principaux cultivateurs d'Epauvillers étaient les sui-
vants: Petit Thoinat Vallat, Leonard Barest, Pierre Marandat,
Henri Billieux, Guenin, Thonat Parot, Colin Jolidon, Estienne
Blaismaille, Claudat Maître, Jean Vallat, Ursanne Roy, François
Desbrosses, Etienne Jeannerat, Nicolas Maître, Claudat Viatte,
George Escabert et Jean Perrin Borne. Thoinat Maître était
maire
de Villers en 1662. En 1660, le maire était Pauli Vernier, et quatre
ans auparavant, c'était Marquat.
George Vallat était décimateur du Chapître à
Epauvillers en 1687,
et en 1693, il recevait en emphytéose, conjointement avec Paul
Brischoz, le fief dit la Terre au saint. Paul Brischoz revenait de
Levoncourt, où il avait demeuré pendant quatre ans chez son
fils,
curé de cette paroisse.
Thomas Cuenin, en 1695, était sacristain de l'église, qui
fut re-
bâtie alors avec le concours du Chapître. Le choeur menaçait
ruine.
Il fut rebâti le premier. Mais bientôt il fallut en faire autant
pour
le vaisseau, dont la chute n'était pas moins imminente.
L'église rajeunie fut dotée par le Chapître d'un nouveau
taber-
nacle portant, avec le sceau du Chapître, cette inscription: "Don
gratuit des chanoines de St-Ursanne". L'année suivante, à
la prière
des sieurs Colin Parolz, maire, Ursanne Viatte, ambourg et Jean-
Henri Darosier, fabricateur, le Chapître fit installer, à
ses frais,
une tribune et de nouveaux bancs dans la même église, et peu
après une chaire et un autel latéral. En 1728, il fallut
refondre la
cloche, qui n'était plus seule en 1751. Une soeur lui avait été
donnée.
Les événements de 1730 à 1740 ne laissèrent
pas indifférente la
population d'Epauvillers. Elle se montra favorable aux revendica-
tions non fondées de "ses hôtes", et quelque peu revêche
au de-
voir de payer ses anciennes redevances. Le désarmement de 1740
suffit pour ramener l'ordre dans la communauté et y faire revivre
les idées de devoir et de justice.
En ce temps-là, les notaires n'étaient pas riches. Le 30
mai 1749,
Jean Maître, notaire juré et ancien maire d'Epauvillers, recevait
du Chapître une "charité" de six livres. Jeantat Pic était
alors
maire à Epauvillers.
et colonges encore :
Sondage Ipsos pour «Libération»
45% voient en Paul Bocuse le meilleur représentant de la ville de
Lyon
Raymond Barre coiffé par une toque, Paul Bocuse, le célébrissime
chef de Colonges. Certes, les Lyonnais sont reconnaissants à
celui
qui fut un temps Premier ministre d'avoir, durant les cinq
dernières années, «amélioré l'image de
Lyon en France et à
l'étranger» et «développé la vie culturelle»,
mais pas au point d'en
faire le meilleur représentant de la ville. Côté politique,
on notera
que Raymond Barre est surtout cité par des hommes alors que
Gérard Collomb ratisse davantage du côté des femmes.
Mais
surtout que Charles Millon, suspendu de l'UDF en 1998 pour avoir
fait alliance avec le Front national pour obtenir la présidence
de la
Région, n'est pas définitivement frappé du sceau de
l'infamie. Il
arrive ici en septième position et, quand on demande aux
Lyonnais quel serait le meilleur maire pour Lyon , Charles Millon
est cité en troisième position. Et c'est chez les sympathisants
de
droite et les plus de 65 ans qu'on trouve le plus de bienveillance à
son égard.
(http://isuisse.ifrance.com/st-ursanne/epauvillers.htm)
Généalogie sur le net :
COLONGES, Jean-Baptiste
Birth : 1710 Riom, Clermont, France
Family:
Marriage: 10
FEB 1749 in Montreal, Quebec
Spouse:
MOISON, M. J. Marguerite
Birth : 31 MAY 1726 Montreal, Quebec
Parents:
Father: MOISON, Jean-Baptiste
Mother: ROBILLARD, Marie-Therese
Children:
COLONGES, Jean-Baptiste
TABAUT, Marie-Hypolite
Birth : 1752
Family:
Marriage: 27
FEB 1775 in Lachine, Quebec
Spouse:
COLONGES, Jean-Baptiste
Birth : ABT 1753
Parents:
Father: COLONGES, Jean-Baptiste
Mother: MOISON, M. J. Marguerite
(http://famfound.100megsfree.com/html/index.htm)
GAILLARD, Jean
Sexe: Masculin
Famille:
Conjoint:
COLONGES, Marie
Sexe: Féminin
Enfant(s):
GAILLARD, Mathilde
(http://quezako.free.fr/arbre/donarbre/genearbre1/index.htm)
Ouvrages :
Essai sur la vie rurale et les colonges (catégorie institutions)
d'Alsace - (XIè-XIIIè siècle) aperçu
général des colonges et la classe des
colongers en Alsace - les tenures
colongères - les droits d'usage et les
communaux - redevances colongères...) -
par Stefan INGLOT (Edition 1932)
http://cdhf.telmat-net.fr/presentation/bibliotheque/acquisitions/1997.fr.phtml
Dernières modifications le 14 mai 2001